Kavinsky

Concertandco décripte le concert de Kavinsky :

"Une ambiance qui a mis du temps à décoller ! Avec un Kavinsky qui prend son temps pour nous faire monter en pression et finalement lorsque, à l'apogée de son art, sur le tube Nightcall, il arrive enfin à nous faire prendre notre pied, il décide d’arrêter son concert... Après seulement une petite heure, l'ensemble du public est circonspect ! Sommes-nous au théâtre, y-a-t-il un entracte ? Les gens restent un peu dans l'attente du retour de Kavinsky mais tout est clair lorsque Vincent Belorgey aka Kavinsky revient dans la salle pour prendre sa dose journalière d'applaudissements, qui restent très faméliques du reste... Ivre ou déchiré, il invective des membres du public, voulant les faire monter dans sa loge, peut-être pour finir le concert... Il se fait finalement raccompagné pour son service de garde rapprochée un peu malgré lui... Un membre de son équipe vient discuter avec le public, interrogatif sur la prestation de l'artiste. A la question : "Est-ce toi qui essuie les plâtres pour lui ?" la réponse un peu gênée : "Cela fait longtemps qu'ils sont essuyés... " nous renseigne davantage sur la nonchalance de l'artiste vis a vis de son public. On nous invite néanmoins à nous diriger vers le bar car "c'est quand même vachement bien qu'il vienne au bar vous voir après !". En résumé : 26 euros pour un artiste qui paraissait bon et surtout connu pour mettre l'ambiance, j'aurais préféré descendre quelques bières dans un bar rennais en écoutant un groupe local ! Sensation désagréable de s'être fait bai** sans avoir joui. A bon entendeur !"

Critique négative mais justifiée, il a donné un minimum alors que nous n'étions pas en festival (pour lui chercher des excuses), et que nous attendions plus que l'écoute d'un cd.

En revanche, j'ai vu un concert d'éléctro. Le premier. Sûrement le dernier car ce n'est pas mon type de musique, mais je voulais au moins voir un artiste que je connaissais. Mais entre écouter son album, et ce concert, il n'y a de différence que le public. Pour ma part, j'ai bien dansé et je me suis laissée porter.

On peut toujours se réconforter avec London Grammar.

Et vivement les prochains concerts, avec deux exclues France !!!! Asgeir et Lorde !